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         Comme précisé dans l'article présentant ma nouvelle structure, tout n'était pas encore au point. C'est chose faite maintenant et le système d'humidification est en place. Vu la taille de la structure, je me suis retrouvé rapidement confronté à un problème : Il n'existe pas pour ma structure de brumisateur (ultrasonique) assez puissant dans le commerce, loin de là (pas assez de têtes, pas assez de réserve et ventilateur trop petit). De plus je ne voulais pas humidifier avec un système sous pression, à cause du bruit, des risques de fuite et des éclaboussures. Du coup une seule solution, le faire soi-même. Voilà quelques caractéristiques du système :

 

– 9 têtes de brumisation.

– Environ 40 litres de réserve (j'ai utilisé une sorte de poubelle plastique que j'ai étanchéifié).

– Un gros ventilateur (300m3 / heure) pour mettre tout ça sous pression et permettre l'utilisation d'un long tuyau (plus de 6 mètres) pour répartir la brume partout.

– Un water timer GSE utilisé pour faire tourner le brumisateur à une certaine fréquence le jour et une autre fréquence la nuit.

 

         Le système est plutôt efficace, et permet de brumiser à 13 endroits différents sur la structure. Tout le cadre n'est pas humidifié de la même façon, de manière à varier les conditions de culture sur la structure. Ainsi, chaque Tillandsia et chaque Phalaenopsis y trouve son compte :

 

 

En attendant la suite, je vous souhaite bonne culture 😉

à bientôt

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         Ayant toujours adoré cette espèce, je possède aujourd'hui 3 spécimens de cet incroyable Tillandsia. Le spécimen #1, ci-dessous, est le premier qui a fleuri et que j'ai pu identifier comme étant bel et bien un T. caerulea. Comme vous pouvez le constater, il a bien grandi ces dernières années :

 

Tillandsia caerulea spécimen #1 2011 (cliquez pour agrandir)

 

Tillandsia caerulea spécimen #1 2014 (cliquez pour agrandir)

 

         Ci-dessous un autre de mes spécimens de T. caerulea, avec des tiges et des feuilles beaucoup plus souples que le spécimen #1 :

 

Tillandsia caerulea spécimen #2 (cliquez pour agrandir)

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          Suite à de nombreuses questions concernant l'apparition et le développement des racines sur les keikis (rejets naissant sur une hampe), j'ai décidé de vous concocter un article "pas à pas" pour vous montrer une technique très simple permettant de favoriser l'apparition et le développement de racines sur vos petits bébés (pour ceux qui ne connaissent pas bien les keikis, je vous invite à lire cette page). Cela est très utile pour accélérer le processus et gagner du temps mais surtout si vous devez envisager une séparation prématurée : par exemple, si la partie de la hampe située entre le(s) keiki(s) et la plante mère commence à jaunir et qu'il reste donc peu de temps au petit pour former des racines avant la séparation, surtout s'il en a aucune (pas de panique par contre tant que ce n'est que l'extrémité de la hampe qui jaunit car bien souvent, le jaunissement s'arrête au niveau du keiki, au moins pendant quelques mois. Le keiki reste ainsi connecté à la plante mère pendant ce temps et peut donc encore produire des racines rapidement, surtout si vous appliquez la méthode de cet article).

Note : les informations de cet article peuvent aussi être utilisées pour un rejet situé à la base de la plante mère (on ne parle pas de keiki dans ce cas). Si le rejet est proche de le surface du pot, il n'y aura pas besoin de ligaturer la sphaigne mais juste d'en coincer un peu entre la base du rejet et le substrat.

 

          Deux méthodes ont déjà fait leurs preuves pour favoriser le développement des racines :

Les hormones : elles "forcent" la plante à produire des racines.

Une augmentation d'humidité : qui va permettre d'augmenter les chances d'apparition de racines et surtout favoriser leur développement une fois émises.

Note : n'étant pas fan des produits chimiques, je me suis concentré sur la deuxième méthode, que j'ai adapté pour l'occasion en m'inspirant d'une technique horticole qui est le marcottage aérien (très facile à réaliser). Il est cependant possible de combiner les 2 méthodes (faire le montage en appliquant un peu d'hormone avant de recouvrir de sphaigne).

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Ma plus belle acquisition à l’heure actuelle

          Pour ceux qui suivent un peu le blog, vous avez certainement déjà remarqué que j'ai un (très) gros faible pour les Tillandsia et plus particulièrement pour l'espèce T. duratii. Pierre m'avait déjà trouvé un superbe spécimen en mai, mais là c'est encore mieux : Le pied est simplement énorme, pesant presque 5 kg lorsqu'il est sec ! N'ayant pas trop de ramification (2 dédoublements de tête au niveau de l'apex et un petit rejet à la base), quasiment toutes les feuilles que vous voyez sur la photo appartiennent à la même plante ! Ce n'est pas une boule pleine de rejets, mais un spécimen vraiment très grand (plus d'1m50 pour le pied principal) ! Voici la photo :

 

Encore merci à toi Pierre,

A bientôt 🙂

 

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