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         Je vous avais déjà parlé de ce petit rejet sorti (ou plutôt tombé) de nul part (si vous voulez lire son histoire, cliquez ici) et qui n'en finit pas de me surprendre. En effet quelle ne fut pas ma surprise lorsque, il y a quelques semaines, j'ai découvert qu'il amorçait déjà une floraison. J'imaginais alors que la fleur allait être plus petite que la normale, mais non… Du coup, le petit se retrouve avec une fleur qui, système racinaire mis à part, est plus grosse que lui ! Voici les photos du petit à la grosse tête :

 

Floraison rejet Phalaenopsis lobbii (cliquez pour agrandir)

 

Floraison rejet Phalaenopsis lobbii fleur (cliquez pour agrandir)

 

Si vous voulez consulter la fiche botanique de cette espèce, c'est par ici.

A très bientôt 😉

 

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          Suite à de nombreuses questions concernant l'apparition et le développement des racines sur les keikis (rejets naissant sur une hampe), j'ai décidé de vous concocter un article "pas à pas" pour vous montrer une technique très simple permettant de favoriser l'apparition et le développement de racines sur vos petits bébés (pour ceux qui ne connaissent pas bien les keikis, je vous invite à lire cette page). Cela est très utile pour accélérer le processus et gagner du temps mais surtout si vous devez envisager une séparation prématurée : par exemple, si la partie de la hampe située entre le(s) keiki(s) et la plante mère commence à jaunir et qu'il reste donc peu de temps au petit pour former des racines avant la séparation, surtout s'il en a aucune (pas de panique par contre tant que ce n'est que l'extrémité de la hampe qui jaunit car bien souvent, le jaunissement s'arrête au niveau du keiki, au moins pendant quelques mois. Le keiki reste ainsi connecté à la plante mère pendant ce temps et peut donc encore produire des racines rapidement, surtout si vous appliquez la méthode de cet article).

Note : les informations de cet article peuvent aussi être utilisées pour un rejet situé à la base de la plante mère (on ne parle pas de keiki dans ce cas). Si le rejet est proche de le surface du pot, il n'y aura pas besoin de ligaturer la sphaigne mais juste d'en coincer un peu entre la base du rejet et le substrat.

 

          Deux méthodes ont déjà fait leurs preuves pour favoriser le développement des racines :

Les hormones : elles "forcent" la plante à produire des racines.

Une augmentation d'humidité : qui va permettre d'augmenter les chances d'apparition de racines et surtout favoriser leur développement une fois émises.

Note : n'étant pas fan des produits chimiques, je me suis concentré sur la deuxième méthode, que j'ai adapté pour l'occasion en m'inspirant d'une technique horticole qui est le marcottage aérien (très facile à réaliser). Il est cependant possible de combiner les 2 méthodes (faire le montage en appliquant un peu d'hormone avant de recouvrir de sphaigne).

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        J'ai eu quelques problèmes cet été, notamment à cause de la chaleur. En effet c'est le premier été depuis que j'ai installé le système de brumisation, et chaleur + humidité ne font pas toujours bon ménage… Heureusement pas de grosse casse mais quelques signes de faiblesse, surtout pour mon P. equestris "wanchiao blue" dont le coeur a été attaqué. Mais quelques jours à peine après l'accident, un bourgeon (que j'ai pris au début pour un départ de hampe) s'est rapidement révélé être un rejet. Bonne nouvelle donc, d'autant plus qu'il grandit vite. Le voici au bout de quelques semaines : 

       Ce phénomène de reproduction végétative (ou asexuée), bien que assez fréquent en cas de "mort" du coeur de la plante, est toujours aussi surprenant à observer sur des orchidées monopodiales comme les Phalaenopsis. Il ne me reste plus qu'à attendre qu'il devienne aussi grand que le pied mère…

A bientôt 🙂

 

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          L'apparition d'un keiki (rejet naissant sur une hampe) n'est pas rare chez les orchidées, et plus particulièrement chez les Phalaenopsis (pour ceux qui ne connaissent pas bien ce phénomène, je vous invite à lire cette page). La question qui m'est souvent posée est qu'en faire ? Dois-je le séparer de la mère ? Si oui, comment procéder ? Cet article va tâcher de répondre à toutes ces questions. Vous êtes prêts ? C'est parti !

Note : les informations de cet article peuvent aussi être utilisées pour un rejet situé à la base de la plante mère (on ne parle pas de keiki dans ce cas). Il faudra juste veiller, au moment de séparer le rejet, à bien couper à la jonction entre le rejet et le pied mère, de manière à ne blesser aucun des 2.

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         La page dédiée à la culture des Tillandsia est terminée, vous y trouverez tous les conseils utiles pour réussir leur culture (Les liens ci-dessous renvoient aux parties correspondantes de la page) :

Note : Les termes techniques présentent également des liens pop-up vers le glossaire, pour apprendre sans avoir à voyager d'une page à l'autre. N'hésitez pas à me contacter si vous avez des questions.

 

          Alors, vous êtes encore là ? Suivez ce lien sans tarder pour tout connaitre sur la culture des Tillandsia 😉

          Bonne lecture !

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